15/04/2023 – VIDEO et RETRANSCRIPTION ( sous la vidéo) – Lors du colloque “La Victoire des Fourmis” à Namur en Belgique, Laurence, la maman d’Antoine a témoigné du parcours médical de son fils après 2 injections et de son issue fatale.

Retranscription

“De quoi mon fils est-il décédé ?

Après plus d’une année de supputations hésitantes quant à la ou les causes de décès d’Antoine à l’âge de 30 ans et toujours dans l’attente du rapport d’autopsie demandé depuis mars 2021 par mon bienveillant avocat; aujourd’hui, pour la première fois, je prends la parole en public.

Depuis décembre 21, longue période de deuil difficile par divers tiraillements entre toutes les théories possibles jusqu’à douter de mon état d’esprit.
Est-ce dû au covid ? Non vu qu’il était doublement injecté.
Effets d’une vaccination juste après un Covid passé inaperçu ?
Un état de fatigue cumulé avec le Covid et les injections ?
Une défaillance existante insidieuse et inconnue jusqu’alors, arrivée par coïncidence lors de la période Covid et injections ?
Une défaillance préexistante inconnue amplifiée par les injections ?
Surproduction d’effets de la protéine Spike ?
… ?

Au préalable, il était en bonne santé et nous avons recensé un malaise par manque de repos, et non d’alcool, lors d’un festival juste après une session universitaire intense et un autre dû à une fatigue temporaire suite à une nécessité de surplus de travail pour adaptation à un nouveau poste.

Les résultats de ses examens médicaux (neuro et cardio) réalisés entre ses injections et son décès ne révélaient, ni ne présageaient, une telle finalité.

Revenons en arrière, au début du premier confinement.
Dés le début du premier confinement, je me proposai volontaire pour garder des enfants de soignants et commerçants avec toutefois de la crainte face à cette grande inconnue virale. Ma dernière prise de sang augurant une immunité satisfaisante, mes fils n’étant plus en bas âge….
« Armée » d’une panoplie contrôlée de compléments préventifs, pouvant disposer de deux protocoles curatifs différents et humant parcimonieusement, comme nos anciens, une décoction ancestrale, j’avais traversé cette période pleine d’incertitudes.

Lors des déconfinements partiels, j’avais témoigné et suggéré à mes deux fils ce qui vient de vous être relaté.

Vint l’annonce de l’injection miraculeuse !

N’étant pas anti-vaxx, je préconisais toutefois la vaccino-prudence. En effet, j’estimais bizarre la diabolisation soudaine d’une molécule utilisée quasi-librement depuis plusieurs décennies et leur conseillai d’attendre 6 à 12 mois de recul avant de recourir aux injections.

Vint l’invitation pour l’injection…

Ma dernière sérologie montrait une présence (pas suffisante selon les critères officiels) d’anti-corps. J’avais donc eu le covid sans m’en apercevoir.
Je suggérai à mes proches de recourir à une prise de sang exhaustive incluant sérologie covid auprès de ma doctoresse afin d’être fixé sur la nécessité impérieuse de l’injection.
Conseils pieusement détruits par les propos de la presse à l’encontre de ma doctoresse.
Les organes gouvernementaux l’emportaient sur ma modération de maman.

Et puis, Antoine aimait tellement ses grands-parents dont l’un exigeait l’injection.

Désireux de retourner à la vie sociale, Antoine reçut les deux injections. J’appris qu’il avait éprouvé des symptômes immédiatement après l’une d’elles.
« On » lui avait dit que c’était « normal », de ne pas s’inquiéter; et moi, j’avais perdu toute crédibilité à ses yeux.

Des symptômes préoccupants apparurent tels que « tendance à la rupture de contact », maladresse manuelle, scotomes scintillants, trismus courts suivis d’un air musical qu’il percevait dans l’oreille, convulsion de type épileptique, sensation de déjà vu comme des scènes de films, de documents et autres illusions visuelles.

Le 15 novembre 21, une analyse sommaire de sang (dont fut exclu le taux de D-Dimères) montra un taux de créatine kinase très élevé.

Le 17 novembre, il consulta un neurologue qui soupçonna une activité comitiale psychomotrice (càd suspicion épileptique) et prescrivit un électro-encéphalogramme et une IRM. Date de rendez-vous possible à cet effet : le 17 janvier 2022.

Le 18 novembre 21, Antoine consulta un cardiologue pour un bilan cardio-vasculaire dont le rapport fut rassurant et ne révéla aucune cardiopathie sous-jacente.

Début décembre, je lui suggère un rendez-vous chez un soignant « alerté ». Il refusa.

Etant la seule non injectée de la famille, je n’avais donc aucun argument probant.

Le 8 décembre, Antoine fut pris de convulsions, perdit connaissance, devint tout mauve/bleu et transporté rapidement aux urgences. Le soir même vers 22h30, il rentra chez lui après des résultats réconfortant et sans aucune recommandation mise à part un EEG pour le lendemain dont l’interprétation était prévue le 29 décembre. Les examens réalisés les 8 et 9 décembre n’indiquaient aucunement la présence d’épilepsie, ni de problèmes cardiaques.

Le 16 décembre, Antoine fut retrouvé mort dans sa baignoire.

Une autopsie fut réalisée, je ne l’ai toujours pas reçue à ce jour. On m’a juste communiqué oralement : mort par noyade.

Antoine fut un enfant et un jeune adulte dynamique, altruiste, plus disponible pour les autres que pour lui-même.

Il avait dépassé bien des paliers dans sa courte vie : persuader ses parents de réussir ses deux dernières années primaires en une, scouts marins, création d’une équipe de rugby dans son école, master en droit dans des conditions difficiles, obtention d’une aide financière privée pour réaliser un master au King’s College de Londres, concours européen de débats, bénévolat auprès d’une école de devoirs après ses heures de travail, implication politique dans sa commune, …
Il entamait sa trentaine avec son entrain généreux et humaniste.

Dans la solitude volontaire de mon processus de deuil, peu à peu, l’inclination à abandonner la quête de la ou des causes s’insinua suite aux moult arguments servis : « Ce ne sont pas les injections », « Tu te racontes des histoires », « Oui, ça peut parfois arriver, c’est le prix du progrès de la science, mais ce sont de très rares cas isolés », « Non, ce n’est pas possible, les experts savent ce qu’ils font ; d’ailleurs, je viens de faire ma 4ème dose et je vais bien», « De toute façon c’était sur base volontaire, Maman, et Antoine le savait »,….

Je restais empreinte du doute quant à une éventuelle affabulation consolatrice de mon mental.

Ma culpabilité de vivre se transforme lentement en une énergie m’aidant à apprivoiser cette souffrance indescriptible d’un amputé ressentant toujours la présence de ce membre enlevé.

Volontaire ?

Acte volontaire écrit l’AVIQ.
Le seriez-vous si, avant de procéder, votre injecteur vous présente la liste des 15 .302 maladies recensées comme « effets secondaires d’intérêt particulier » figurant dans les documents Pfizer ?
Documents mis à disposition seulement fin 2021.

Récemment en relisant son dossier, d’arguments, aujourd’hui défaillants, de l’invitation de l’AVIQ (Agence pour une vie de qualité), certaines littératures ardemment censurées et en écoutant des témoignages comme ceux de Lucy et Pierre, je ne peux que continuer à être ce que je suis pour l’éternité, c’est-à-dire la mère d’Antoine et de perpétuer ses élans orientés d’abord pour l’humain en témoignant aux côtés des autres blessés afin de palier pareils écueils dramatiques.

Il apparait essentiel que tout soignant et tout soigné puissent être librement formés et informés quant à toutes éventualités au lieu de les induire à apprendre et appliquer uniquement des conclusions généralisées écrites en gras.

Je demande un pacte de guérison pour la médecine.”