Septembre 2022 – Documentaire anglais «Safe and effective, a second opinion», produit par Mark Sharman, journaliste, et réalisé par Oracle Films Production, en association avec News Uncut Media (55min). Traduit en français par «Sûr et efficace», il a atteint à mi-octobre 2022 un million de vues.

“Safe and Effective” met en lumière les blessures et les deuils liés aux vaccins anti – covid, mais s’intéresse également aux défaillances systémiques qui semblent les avoir favorisées. Il examine aussi les analyses des essais pharmaceutiques, le rôle de la MHRA ( Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) dans la réglementation de ces produits, le rôle des scientifiques de SAGE ( Scientific Advisory Group for Emergencies ) dans l’influence des politiques et le rôle des médias et des grandes entreprises technologiques dans la suppression du débat libre et ouvert sur le sujet.

Le documentaire a été retiré de YouTube le 26 octobre 2022 sous le prétexte d’une prétendue “désinformation médicale”. À cette date, il avait accumulé déjà plus de 990 000 vues et 7 000 commentaires.

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Points forts du documentaire

Le Dr Aseem Malhotra, cardiologue, a été l’un des premiers à recevoir le vaccin Pfizer (deux doses). Il a analysé pendant plusieurs mois les données, et consulté des scientifiques de premier plan d’Oxford, Stanford et Harvard. Il a aussi travaillé avec des journalistes médicaux d’investigation et été en contact avec deux lanceurs d’alerte de Pfizer. Il est arrivé à la conclusion que ces injections, qui génèrent des préjudices sans précédent, devraient être arrêtées immédiatement, jusqu’à ce que toutes les données soient analysées de façon indépendante : «Stoppons ces injections et analysons ce qui se passe»

Par ailleurs, selon lui, affirmer que ces vaccins auraient sauvé 20 millions de vies est de la science-fiction. Une étude récente du British Médical Journal a montré que 86 % du financement des autorités de régulation (qui autorisent la mise sur le marché des vaccins) est assuré par l’industrie pharmaceutique, c’est un énorme conflit d’intérêts.

De nombreux scientifiques du monde entier ont également demandé l’arrêt de cette vaccination.

Pour le Dr Clare Craig, ce qui s’est passé avec le consentement éclairé est très préoccupant. Le plus inquiétant est que les médecins ne se sont pas informés. Beaucoup l’ont fait seulement via la BBC ou à la pause déjeuner. Ils ont accepté sans remise en question parce qu’il s’agissait de «vaccins» présentés comme sûrs et efficaces. Il s’agit d’un véritable manquement au devoir.

Alexandra Latypova, chercheuse spécialisée dans les essais cliniques, fait partie d’un groupe d’experts qui a examiné les documents de Pfizer. Ce qu’elle affirme est choquant : «La toxicité des agents actifs des vaccins à ARNm n’a jamais été étudiée. Le CDC (Centres de contrôle des maladies aux Etats-Unis), la FDA (Agence de contrôle des aliments et médicaments) et Pfizer ont menti en disant que le contenu des vaccins restait dans le bras».

– John Bowe, le présentateur du film, nous éclaire sur un phénomène qui ne peut plus être ignoré : partout dans le monde des millions d’effets secondaires et milliers de décès sont signalés sur des sites de pharmacovigilance officiels. Des gouvernements sont accusés de vouloir couvrir ces faits. Les médias en parlent rarement, ou en finissant toujours par dire que la gêne est temporaire et que ces injections n’en demeurent pas moins recommandées.

=> Nombreux témoignages poignants

Ce documentaire donne la parole à des personnes qui ont déclenché des effets secondaires graves suite à ces injections, alors qu’elles étaient en parfaite santé avant. Leurs témoignages sont bouleversants.

– A 3 min 35 et 34 min 41 – Georgia Siegal, 35 ans, de Berkhamsted, effondrée après la 2ème dose Pfizer, a eu de violentes convulsions dans tout le corps.  Elle ne pouvait que très difficilement marcher, et à l’aide d’un déambulateur. Elle en subit encore les conséquences, elle s’évanouit souvent, ses jambes deviennent faibles et lâchent… Elle a fini par être reconnue invalide et a pu améliorer son état grâce à un traitement «goldic». Mais elle n’a pas récupéré la qualité de vie qu’elle avait avant l’injection. Elle souffre toujours de crises d’épilepsie, d’évanouissements, et des problèmes pour marcher.

– A 6 min – Alex Mitchell, 57 ans, de Glasgow, était un travailleur très actif. Il a eu des caillots sanguins après une injection AstraZeneca. Sa jambe gauche a dû être amputée. Il devient aveugle de l’œil droit, obligé de se déplacer en fauteuil roulant. Il a reçu une indemnité de 120.000 livres.

– A 7 min 04 – Charlotte Wright, de Sevenoaks :  son mari Stephen de 32 ans est mort d’un AVC après sa première injection AstraZeneca, alors qu’il allait occuper un nouveau poste comme médecin-chef en psychologie clinique. Le décès a été reconnu comme faisant suite à la vaccination. Cette mère au foyer a reçu une compensation de 120.000 livres.

– A 10 min 57 et à 32 min 17 – Caroline Pover, 50 ans, de Cirencester, était très active : cheffe d’entreprise, auteure, conférencière. Après une injection AstraZeneca, sa vie a basculé. Pendant cinq longs mois, elle était incapable de faire quoi que ce soit, avec une fatigue chronique, des douleurs constantes à la tête et aux yeux. Elle marchait lentement, ne pouvait plus lire ni écrire. Aujourd’hui elle ne fonctionne qu’à 30 % de ses activités antérieures. Régulièrement, elle a des douleurs à la poitrine qui l’obligent à s’allonger. Elle rapporte que dans la communauté de victimes des injections covid, plusieurs personnes se sont suicidées.

Caroline Pover a écrit un livre: Covid Vaccine Adverse Reaction Survival Guide”. Elle va un peu mieux grâce à la phlébotomie qu’elle a appris à pratiquer sur elle-même.

– A 24 min 31 et à 33 min 03 – John Watt, 36 ans, de Glasgow, très sportif, faisait de la musculation. Il allait se marier. Sa vie a basculé après le booster de Pfizer. Il avait un antécédent d’AVC mais était en bonne santé. La 3ème dose l’a rendu handicapé. Il a cru mourir, son corps tremblait et sursautait. Il a été très malade pendant 6 semaines: crampes au coeur, brouillard cérébral, convulsions, vomissements, ralentissement général, bégaiement… Son corps ne régule plus sa température. Il souffre du Syndrome de tachycardie orthostatique posturale, une marche de vingt mètres fait monter son rythme cardiaque en flèche. Il ne peut rester debout que trois à cinq minutes, sinon il s’évanouit. Ce sont ses parents qui financent ses traitements, ils ont dépensé des milliers de dollars et sont prêts à hypothéquer leur maison pour l’aider. Toujours cloué au lit, il cherche encore des traitements concluants.

– A 26 min 54 – Maxwell Harrison, 22 ans, de Maidstone, danseur, il rêvait de devenir professionnel, se préparait avec sa partenaire pour des championnats internationaux. Après sa seconde injection Pfizer, il a pensé qu’il allait mourir, il avait si mal au coeur qu’il ne pouvait plus respirer. Résultat : miné par la péricardite et la myocardite, il ne peut plus pratiquer sa passion.

– A 29 min 06 – Geneviève Florence, 24 ans, de Londres, était dans une équipe olympique de natation synchronisée. Elle s’entraînait 6 jours par semaine, 10 heures par jour. Son employeur lui a demandé d’être doublement vaccinée pour travailler dans des films. Elle l’a immédiatement regretté. Souffrant de terribles maux de tête, elle ne pouvait plus se lever ni se faire à manger. L’expérience la plus traumatisante pour elle: s’entendre dire que sa souffrance était psychologique et non physique. Geneviève a retrouvé 70 % de ses capacités grâce à l’oxygénothérapie qui lui permet d’atténuer ses migraines régulières.

– A 37 min 02 – Matt Le Tissier, footballeur anglais de Southampton : «C’est tout simplement incroyable le nombre de personnes, pas juste des footballeurs, tous les sportifs en général, des joueurs de tennis, basket, combien se sont effondrés ? A un moment donné, il faut bien dire que ce n’est pas normal. Il faut lancer une investigation sérieuse pour comprendre si cela vient du covid ou de la vaccination».

Source : Covidhub.ch