13/01/2023 – Vidéo et retranscription – BBC NEWS – En plein direct sur un media grand public au Royaume-Uni, BBC News, le Dr Aseem Malhotra, cardiologue, affirme que le vaccin à ARNm covid est probablement un facteur contribuant à l’excès de décès cardiovasculaires et que son déploiement devrait être suspendu en attendant une enquête.

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Retranscription

“L’une des raisons pour lesquelles ce sujet est devenu d’actualité est qu’il y a récemment une grande interrogation concernant la surmortalité.

La British Heart Fondation a déclaré que depuis la pandémie, il y a eu 30.000 décès supplémentaires dus spécifiquement aux maladies coronariennes. C’est mon domaine d’expertise. Ils essaient de comprendre ce qui en est la cause.

Chris Witty a récemment suggéré que cela pourrait être dû au fait que l’on n’a pas prescrit de statines ou de pilules pour la tension artérielle. Malheureusement, j’ai du respect pour Chris Witty mais je pense qu’il se trompe car les analyses…même Carl Heneghan, le directeur du centre de médecine fondée sur les preuves d’Oxford suggère que la prescription de statines n’a pas diminué depuis la pandémie. Il est donc peu probable que ce soit une cause.

Mais ce qui est certain, si vous me permettez de le dire, ce que mes propres recherches ont trouvé et c’est quelque chose qui est probablement un facteur contributif, c’est que les vaccins ARMn covid comportent un risque cardiovasculaire.

J’ai d’ailleurs demandé la suspension de ce vaccin dans l’attente d’une enquête parce qu’il y a beaucoup d’incertitudes pour le moment sur la cause de cette surmortalité.

Une partie est dûe au retard des ambulances. Mon propre père a fait l’objet d’un reportage sur BBC NEWS à la fin de 2021. J’ai été le premier à mettre en évidence le retard des ambulances parce que mon propre père a fait un arrêt cardiaque à la maison et l’ambulance a mis 30 min. Et lorsque son autopsie a été réalisée, il souffrait d’une maladie coronarienne très grave, ce qui était inexplicable.

J’ai alors publié un recours. Ils ont accepté mes conclusions selon lesquelles la cause probable de son décès était les deux doses du vaccin ARMn de Pfizer qu’il avait reçues 6 mois auparavent. (…) En médecine, dans toutes les recherches que nous faisons, il est très difficile d’être absolument concluant. Donc nous nous basons sur la probabilité et il y a beaucoup de données maintenant. L’outil de données de la plus haute qualité s’appelle la preuve d’essai de contrôle randomisé. Ainsi une analyse réelle a été publiée récemment dans le journal des vaccins où l’on a constaté que l’essai initial de Pfizer et Moderna a montré et c’est un terme absolu, sans vouloir effrayer les gens sur ce point que le risque réel d’effets indésirables graves était d’au moins 1 sur 800.

Et beaucoup d’entre eux sont d’ordre cardiovasculaire. Dans ces essais vous aviez plus de chances de souffrir d’un effet indésirable grave que d’être hospitalisé à un stade précoce. (…)”