2021 – Vidéos – Le Dr Charles Hoffe,  de la faculté de médecine de l’Université de Witwatersrand en Afrique du Sud, exerçant à Lytton, au Canada, depuis 28 ans en tant que médecin de famille et principal urgentologue de la communauté, appelle les personnes vaccinées avec les vaccins anti-covid à mesurer leur taux de D-DIMERE (voir synthèse explicative plus bas).

1) Dans la première vidéo ci-dessous, le Dr Hoffe évoque un mécanisme d’action potentiel de la maladie induite par le vaccin anti-covid et l’utilisation du test sanguin D-DIMÈRE qui peut révéler une coagulation récente (voir synthèse plus bas)

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2) Dans cette 2ème vidéo ci-dessous, il explique qu’après avoir administré environ 900 doses du vaccin expérimental COVID-19 à ARNm de Moderna, le Dr Charles Hoffe, il a tiré la sonnette d’alarme sur les réactions graves qu’il observait chez ses patients qui avaient choisi de se faire vacciner mais il a été empêché de parler

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Synthèse

Le Dr Hoffe a découvert grâce aux révélations de scientifiques, comme le Dr Bridle, que seul 25% du vaccin reste dans le bras.

Le vaccin Moderna contient 40 milliards de molécules d’ARN messager par dose de vaccins. Ces particules sont entourées d’une petite capsule lipidique qui leur permet d’être absorbées dans les cellules. Le produit est donc injecté dans le bras dans le muscle deltoïde de l’épaule et à partir de là, seul 25 % y reste. Le reste est collecté via le système lymphatique et introduit dans la circulation générale.

Tous les médecins savent que l’absorption se produit dans les capillaires car c’est là que le sang ralentit lorsqu’il passe par de minuscules vaisseaux.

Les petites nano-capsules contenant ces milliards de particules d’ARN messager sont alors absorbées dans la paroi autour des capillaires qu’on appelle l’endothélium vasculaire. Ces petits paquets sont absorbés dans les cellules autour des vaisseaux. Les paquets s’ouvrent, le corps reconnaît ces brins d’ARN messager comme un gène et il se met au travail pour générer des protéïnes spike.

Dans un virus, ces protéïnes spike font partie de la capsule virale mais ici, le problème est qu’elles ne sont pas dans un virus.

Elles sont dans les cellules autour des vaisseaux sanguins et elles s’intègrent à la paroi cellulaire.

Normalement, les cellules qui entourent les vaisseaux sanguins doivent être très lisses pour permettre au sang de passer sans entrave mais dès que ces protéïnes s’intègrent à la paroi cellulaire, la paroi devient comme une surface dure, comme du papier de verre grossier.

Les plaquettes l’interprètent comme des vaisseaux endommagés et la coagulation est inévitable car les plaquettes qui arrivent vont interpréter la situation comme si il s’agissait de vaisseaux endommagés. Ces vaisseaux vont être bloqués pour arrêter le saignement : c’est la coagulation.

Donc les caillots sont inévitables en raison de la présence de ces protéïnes spike dans les capillaires.

Le problème de ces caillots est que les capillaires sont des vaisseaux microscopiques. Et ils sont disséminés.

On ne verra donc rien sur un scanner. Ce n’est pas comme les gros caillots qui provoquent des AVC ou des crises cardiaques.

Comment savoir si le patient souffre de ces caillots ? Le seul moyen est d’utiliser un test sanguin appelé D-DIMERE. Ce test sanguin révèle une coagulation récente. Pas une ancienne.

Le test ne dit pas où se trouve le caillot mais simplement que le mécanisme de coagulation a été activé.

Le Dr Hoffe a recruté des patients de son cabinet pour faire ce test dans la semaine suivant l’injection. Il a eu 62 % de positif avec un taux de D-Dimère élevé.

Ce qui signifie que ces caillots ne sont pas rares. Contrairement à ce que les prétendus experts ne cessent de dire càd que les caillots sont rares.

Des D-dimères élevés ont été trouvés aussi sur des personnes vaccinées en Australie et au Royaume – Uni.

Les gros caillots sont rares mais les petits surviennent clairement chez la majorité.

Le Dr Hoffe exprime sa grande préoccupation car lorsqu’ un vaisseau est endommagé, c’est permanent. Il ne revient jamais à la normale.

Ces informations au sujet de ces D-dimères ont été rejetées par la communauté scientifique car il n’y a aucun signe clinique majeur de caillots observé.

Ce qui est normal puisqu’ils s’agit de caillots microscopiques et disséminés !

On ne voit donc pas de résultats clairs. Mais tous les effets secondaires fréquents, maux de tête, fatigue, nausées, étourdissements, …peuvent être des signes de thrombose cérébrale au niveau capillaire.

Il peut y avoir des milliers de minuscules petits caillots dans le cerveau qui n’apparaitront pas sur un scanner mais qui donneront justement ces symptômes précis.

Le Dr Hoffe suit 6 personnes dans son cabinet médical qui ne peuvent plus faire de l’exercice comme avant. Médicalement, ils sont en tolérance à l’effort réduit. Ces 6 personnes s’essoufflent maintenant en faisant des choses qu’elles pouvaient faire avant sans aucun problème. Le Dr Hoffe pensent que ces patients ont des milliers de capillaires bloqués dans les poumons.

Elles ont maintenant des poumons endommagés de façon permanente. L’un de ses patients marchait 3 km et aujourd’hui après 500 mètres, il n’en peut plus. En d’autres termes, sa tolérance à l’effort est réduite à 1/8 ème de ce qu’elle était. Il a demandé des scanners et des radios des poumons qui révèlent une architecture déformée, ce que les radiologues décrivent comme une réticulation accrue qui est une chose très peu spécifiée parce que c’est microscopique.

Et le problème est que, comme ces vaisseaux sont endommagés de façon permanente, lorsque le coeur essaye de pomper le sang à travers tous ces vaisseaux, une résistance accrue a lieu. En essayant de pomper le sang à travers les poumons, ces personnes vont développer une hypertension artérielle pulmonaire et pourraient développer de l’insuffisance cardiaque dans les 3 ans. Elles pourraient même mourir à cause de cette résistance vasculaire accrue dans le tissu pulmonaire, cardiaque, et dans le cerveau.

Ces tissus ne se regénèrent pas. D’autres le peuvent comme le foie, les reins, les muscles, mais pas les tissus cardiaques et pulmonaires.