05/06/2023 – Article de REPORT 24 News – “Attention aux fous du climat : 661 gigatonnes de masse supplémentaire – la banquise de l’Antarctique continue de croître”

Les scientifiques ont constaté que la banquise autour de l’Antarctique a considérablement augmenté entre 2009 et 2019. Comme cela ne correspond pas au récit habituel des fanatiques du climat, le courant dominant va certainement l’ignorer dans une large mesure.

Pendant des décennies, les fanatiques du climat nous ont fait croire que les calottes polaires allaient fondre et que le niveau des mers allait donc augmenter de manière dramatique. Mais d’une manière ou d’une autre, la propagande climatique ne correspond pas à la réalité, comme le prouvent également nos rapports sur l’Arctique (par exemple ici et ici).

En Antarctique aussi, on semble être loin de l’absence de glace.

Trois climatologues de l’université de Leeds ont utilisé des données satellites pour vérifier l’état de la banquise en Antarctique. Ils ont examiné la position et la surface de vêlage annuelles de 34 calottes glaciaires, qui représentent au total environ 80 pour cent de la ligne côtière du continent le plus austral.

Ils ont notamment constaté que la réduction de la superficie de la péninsule antarctique et de l’Antarctique occidental de 6 693 km2 et 5 563 km2 respectivement était compensée par l’augmentation de 3 532 km2 dans l’Antarctique oriental et de 14 028 km2 sur les grands inlandsis de Ross et de Ronne-Filchner.

Le recul le plus important a eu lieu sur la banquise Larsen C, où 5 917 km2 ont été perdus lors d’un seul événement de vêlage qui a fait la une des journaux du monde entier de manière alarmante.

L’avancée la plus importante, dont les médias ont parlé de manière un peu moins détaillée, a été celle de la plate-forme de Ronne, avec 5 889 km2.

Les plateaux constituent un soutien important pour les glaciers qui se trouvent derrière, ces zones étant soumises à de grandes variations naturelles.

Les fanatiques du climat aiment choisir de grandes incursions dans la mer pour étayer leurs théories, mais ignorent délibérément la croissance dans d’autres régions. Une approche très sélective qui ne reflète en aucun cas la réalité, même de loin.

La réalité est en effet la suivante :

Au total, 18 plateformes glaciaires se seraient retirées et 16 grandes plateformes auraient gagné en surface.

Au total, les plateaux ont gagné 661 giga-tonnes de masse au cours de la décennie.

Les scientifiques notent que l’utilisation d’un processus “stable”, c’est-à-dire sans changement d’une variable, conduirait à une estimation d’une perte importante au cours de cette période. Ils affirment que leur travail montre l’importance d’utiliser “des observations variables dans le temps du flux de vêlage pour mesurer les changements”.

La fonte des glaces dans la partie occidentale de l’Antarctique pourrait également être due à divers volcans. Quatre-vingt-onze d’entre eux ont été découverts il y a quelques années, ce qui porte le nombre total de volcans actifs à 138.

La fonte des glaces dans cette région n’a donc absolument rien à voir avec le fameux “changement climatique”. Un fait que d’autres scientifiques ont également souligné dans une étude.

Un autre document montre également qu’il n’y a eu “aucun changement significatif” dans l’étendue annuelle de la glace de mer dans l’Antarctique depuis le début des mesures satellitaires fiables.

Plus on s’intéresse à ce sujet et plus on ne se contente pas de prendre en compte de manière sélective les études et les recherches qui soutiennent les thèses des fanatiques du climat, plus on arrive rapidement à la conclusion que tout cela est beaucoup plus complexe et multidimensionnel que ce que l’on veut faire croire aux gens. La seule question est de savoir combien de temps les gens vont encore se laisser berner par les radicaux du climat.