30/01/2023 – Vidéo et retranscription – Retsef Levi, est membre de la faculté du MIT à Cambridge dans le Massachusetts. Il a plus de 30 ans d’expériences en tant que praticien et universitaire dans le domaine de l’utilisation des données et de l’analyse de l’évaluation et la gestion des risques, en particulier dans le contexte des systèmes et politiques de santé, ainsi que dans la gestion de la sécurité et de la qualité de fabrication des biomédicaments.

Il appelle à arrêter les vaccins ARNm sur sa page Twitter : “Les preuves sont de plus en plus nombreuses et indiscutables que les vaccins MRNA causent de graves dommages, y compris la mort, en particulier chez les jeunes. Nous devons cesser de les administrer immédiatement !”

Cliquez sur l’image pour voir la vidéo (retranscription ci-dessous)

Retranscription

“Je tourne cette vidéo pour vous faire part de ma ferme conviction qu’à l’heure actuelle, tous les programmes de vaccination Covid à ARNm devraient être arrêtés immédiatement. Il faut y mettre fin parce qu’ils n’ont absolument pas tenu leurs promesses en matière d’efficacité. Et plus important encore, il faut les arrêter en raison des preuves croissantes et indiscutables qu’ils causent des dommages sans précédent, y compris la mort de jeunes et d’enfants.

J’ai personnellement commencé à m’inquiéter concernant leur innocuité vers le milieu de l’année 2021, lorsqu’on a appris que les vaccins à ARNm provoquaient des myocardites et des inflammations du cœur. La myocardite est connue pour être difficile à diagnostiquer, car elle présente souvent des symptômes de coagulation intravasculaire disséminée ou peut même être de nature subclinique, sans aucun symptôme. Elle est également connue pour être une cause fréquente d’arrêt cardiaque soudain en dehors de l’hôpital, surtout chez les jeunes. J’étais très préoccupé par le fait qu’elle ne serait pas détectée par les systèmes existants de surveillance de l’innocuité des vaccins.

Au vu de tout cela, nous avons décidé d’analyser les données nationales du service d’urgence médical d’Israël (équivalent SAMU), pour voir s’il y avait des signes d’augmentation des effets indésirables, hors hôpitaux. L’analyse des appels et des données de diagnostic du « SAMU », de 2018 jusqu’au premier semestre 2021, a révélé des signaux très inquiétants. Nous avons détecté une augmentation de 25 % des myocardites avec diagnostic d’arrêt cardiaque chez les 16 à 39 ans, au cours du premier semestre 2021. Exactement au moment où la campagne de vaccination a été lancée en Israël. Une augmentation plus faible a également été détectée chez les personnes plus âgées.

En outre, nous avons également détecté une corrélation temporelle statistiquement significative entre le nombre de doses de vaccin Pfizer administrées à cette population et le nombre d’appels au « SAMU » avec diagnostic d’arrêt cardiaque. Il est intéressant de noter que nous n’avons pas trouvé de corrélation statistiquement significative avec le nombre d’infections par le Covid-19 pendant cette période. Bien que cela ne soit pas la preuve d’une relation de cause à effet, cela nous a fortement inquiétés, surtout compte tenu du mécanisme clinique suspect connu.

Nous avons demandé une enquête immédiate et approfondie au ministère israélien de la santé afin d’enquêter sur les causes sous-jacentes de cette augmentation observée des appels pour arrêt cardiaque. Malheureusement, à ma connaissance, aucune enquête approfondie n’a jamais été menée. À présent, je crois que les preuves cumulées sont probantes. Elles confirment nos craintes selon lesquelles les vaccins à ARNm provoquent effectivement des arrêts cardiaques soudains à la suite d’une myocardite induite par le vaccin. Et ce n’est potentiellement qu’un seul des mécanismes par lesquels ils causent des dommages.

Les données du Royaume-Uni, de l’Écosse et de l’Australie reproduisent les données d’Israël. Des données supplémentaires d’Israël indiquent qu’en 2021, le « SAMU » israélien a effectué plus de 3 000 réanimations de plus qu’en 2019, ce qui représente une augmentation de 27 %. Deux études prospectives menées en Thaïlande et en Suisse, dans lesquelles des personnes ont été testées avant et après avoir reçu un vaccin, indiquent que les taux de lésions cardiaques sont susceptibles d’être significativement plus élevés que ceux détectés par les diagnostics cliniques. C’est exactement le même constat qu’avait fait l’armée américaine en 2015, lorsqu’elle a mené une étude similaire sur le vaccin contre la variole.

Une autre étude de la Harvard Medical School a détecté dans le sang d’enfants atteints de myocardite induite par le vaccin, une spike entière, ce qui est une autre indication du mécanisme sous-jacent de la nocivité, mais a en fait des implications encore plus larges sur la sécurité du vaccin, étant donné les preuves répétées que nous avons que l’ARNm et les lipides pénètrent en fait dans le système sanguin.

Et enfin, les autopsies d’autres personnes décédées peu de temps après avoir reçu le vaccin indiquent que, dans un grand nombre de cas, il existe des preuves solides que le décès a été provoqué par une myocardite induite par le vaccin.

Face à toutes ces preuves, je pense qu’il n’y a pas d’autre choix éthique ou scientifique que de retirer ces produits médicaux du marché et d’arrêter tous les programmes de vaccination à ARNm. Il s’agit clairement du produit médical le plus défaillant de l’histoire des produits médicaux, tant en termes d’efficacité que de sécurité. Et nous devons enquêter et réfléchir sérieusement sur le fait que ce soit aussi le produit médical le plus rentable de l’histoire des produits médicaux. Je vous remercie de votre attention.”

 


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