05/08/2022 – Céline Mourier est décédée le 05/08/2022 d’un arrêt cardiaque inattendu et encore à ce jour ( 14/06/2023) inexpliqué d’après les médecins en cardiologie.

Le 22/02/2022, elle avait reçu une 3ème dose de Pfizer. Le 15/07/2022, 6 mois plus tard, elle a fait un malaise et est tombée dans le coma.


Son ex-mari témoigne sur le site de Vérity – France

“Je viens de quitter la dune du Pilat un jour avant le grand incendie, était-ce prémonitoire ? Céline Mourier, l’ex femme de ma vie, à un arrêt cardiaque inattendu et encore à ce jour inexpliqué d’après les médecins en cardiologie.

Ayant reçu la 3ème dose Pfizer le 22 février 2022, le 15 Juillet 2022, un ami commun me signale que Céline a eu un malaise et que les pompiers sont venus la chercher en urgence.

Une infirmière interne de l’hôpital m’annonce la sentence irréfragable. Céline est dans le coma !

Je suis abasourdi. J’annonce livide et en sanglots à ma fille le malheur en cours qu’il vient de se produire. Elle tombe dans mes bras totalement désemparée. Nous rentrons rapidement dans la nuit ou nous ne dormons pas.

Le 16 Juillet 2022 ; Service de réanimation, un médecin nous reçoit dans son bureau et sans trop de tact, nous annonce de sang froid et en toute équanimité : “que les choses sont graves concernant Céline alors je vais aller droit au but. Voilà, jeune fille, ta maman a fait une crise cardiaque, le manque d’oxygène de 10 mns suite à son malaise et le massage des pompiers à l’aide d’électrochoc a joué en sa défaveur. Ta maman ne va pas se réveiller et va mourir ! Je m’excuse de t’annoncer cela aussi brutalement mais elle ne se réveillera pas et va… Mourir ! “

Je lui répond : “C’est bon monsieur, elle a bien entendu, pas besoin de le répéter deux fois, c‘est assez difficile comme ça pour une enfant de son âge !”

– Liloo sanglotante et les yeux en larmes – “Mais… C’est pas possible ! C’est un cauchemar papa ! On ne voit ça que dans les films, dis-moi que c’est pas vrai ?”

Le surlendemain, il nous réitère la même information avec plus de précisions. « Alors nous avons décelé un caillot de sang que nous avons réussi à résoudre. Tous ses organes sont sains ; ses poumons et son cœur ne présentent aucuns problèmes majeurs. Nous allons effectuer des tests toute la semaine qui va suivre avec encéphalogramme, scanner et IRM afin de savoir plus précisément à quels niveaux se situent les lésions cérébrales et leurs importances ».

Il clos son diagnostic d’une parole quelque peu étouffée en prononçant subrepticement « Thrombose ». Terme qui ne sera prononcé qu’une seule fois durant tout son séjour dans le service de réanimation qui durera presqu’un mois !

Etrange, pourquoi ce principe d’échappatoire ? N’y aurait-il pas un lien de corrélation avec la vaccination ?

Il ne faut surtout pas poser la question fatidique sur ce délicat sujet on dirait, c’est tabou et dérangeant dans le climat actuel. Je peux le lire dans ses yeux. Alors je m’abstiens par respect pour sa maman toute proche parce qu’elle vient de perdre son mari quinze jours auparavant, pour sa sœur également à côté de moi et bien sûr pour ma fille encore très perturbée par ces graves évènements mais je bouillonne tel un volcan en mon for intérieur car je suis sur du fait.

Certes, je suis très perturbé par le choc, d’un état capiteux en plus d’un manque de sommeil latent et de plus, en étant séparé depuis quatre ans, je n’ai pas mon mot à dire puisque j’assume le rôle du pestiféré dérangeant. Je n’ai donc pas accès non plus au dossier médical car je ne suis pas la personne de confiance.

Je connaissais pourtant très bien la mère de ma fille depuis quinze ans, elle ne fumait pas, ne buvait qu’occasionnellement de l’alcool qu’elle substituait au thé, manger bio, faisait attention à sa ligne en prenant soin d’elle, était avisée sur tout, bienveillante et avait une qualité de vie exemplaire.

Elle n’a eu aucun malaise ou perte de mémoire quelconque durant cette période. Je n’accepte pas ce verdict et ne crois pas non plus à la thèse du « pas de chance et cela arrive tous les jours » de sa médecin généraliste !

Où sont les signes avant-coureurs ?

Elle avait un esprit d’à-propos sur tout. Je ne comprends pas son intention de se faire injecter alors qu’elle n’avait aucune confiance en l’Etat. Je suis encore à ce jour dubitatif sur ce sujet. Qui a bien pu la convaincre ? Ce n’est pas le discours comminatoire du gouvernement car ce pamphlet insalubre ne la touchait guère malgré cet obstacle dirimant prohibitif. Alors qui ? Pour sa santé, elle n’était pas pusillanime, elle se renseignait sur tout aux devants d’une prévarication répétée.

Céline était une personne attachante, elle était certes angoissée mais toujours objective. Elle était à la fois fragile et forte, touchante et intuitive. Lorsque quelque chose la séduisait, elle faisait preuve d’une délicatesse subtile et offrait le meilleur d’elle-même.

Quand quelque chose la dérangeait, elle somatisait dans un premier temps mais ne faisait jamais preuve de naïveté. Elle aimait la vie et débordait d’énergie lorsqu’ elle était en activité. Elle créait de sublimes aquarelles de ses jolies mains d’artiste.

Elle adorait flâner dans les bois en pleine nature pour une connexion avec les éléments, sentir les embruns l’envelopper ou entendre s’écouler l’eau d’une source en ressentant la canopée. Elle connaissait beaucoup de plantes aromatiques et se soignait à base d’huiles essentielles.

Ses précieux conseils ont semé des étincelles dans les yeux de notre fille puisqu’elle souhaite dans une vie future devenir botaniste.

En journée, elle était plutôt timide, posée et réservée mais en soirée, entre amis proches et une fois sécurisée, elle était survitaminée et pleine d’alacrité. Elle avait un sourire qui illuminait toute la place, son rire était extraordinaire et ô combien communicatif. C’était une femme magnifique, j’avais une très grande estime pour elle et elle était par-dessus tout, la mère de ma fille. C’est pour tout cet ensemble de jolies choses que je l’aimais.

Et elle est partie à seulement 46 ans.

Dès que je me lève, tous les jours depuis sa disparition, je revois le même portrait en grand en face de moi du jour de sa crémation. Celui ou elle tient dans ses bras platane, la tortue en peluche de sa fille Liloo. Elle est divinement radieuse, pleine de vie et tellement belle.

Elle s’est éteinte le 05 Août 2022 à 10h00 juste après le don d’organes. Sa crémation a eu lieue le 11 août 2022, un mois tout juste après son malaise.

Nous allons à présent devoir vivre tous ensemble avec son absence pour l’éternité…”